Close Menu
Terra ImmobilierTerra Immobilier
  • Accueil
  • Acheter
  • Louer
  • Construire
  • Fiscalité Immobilière
Quoi de neuf?

Déménager l’esprit tranquille : la check list pour un changement de domicile sans stress ni imprévu

Groupe WS , l’innovation dans l’immobilier parisien

Peut-on négocier les frais de notaire ? ce qu’il faut savoir avant d’acheter un bien immobilier

jeudi 4 décembre 2025
Trending
  • Déménager l’esprit tranquille : la check list pour un changement de domicile sans stress ni imprévu
  • Groupe WS , l’innovation dans l’immobilier parisien
  • Peut-on négocier les frais de notaire ? ce qu’il faut savoir avant d’acheter un bien immobilier
  • Comment un comparateur d’assurance habitation peut vous faire économiser
  • Crédit relais : comment ajuster une vente longue ? anticiper les délais pour sécuriser son achat-revente
  • Construire une maison écologique : matériaux, normes et aides financières disponibles en 2024
  • Comment trouver l’assurance emprunteur la moins chère pour votre crédit immobilier
  • Déménager : combien coûte un changement de domicile ? estimer son budget pour un projet immobilier serein
Terra ImmobilierTerra Immobilier
  • Accueil
  • Acheter

    Déménager l’esprit tranquille : la check list pour un changement de domicile sans stress ni imprévu

    28 novembre 2025

    Peut-on négocier les frais de notaire ? ce qu’il faut savoir avant d’acheter un bien immobilier

    27 novembre 2025

    Comment un comparateur d’assurance habitation peut vous faire économiser

    21 novembre 2025

    Crédit relais : comment ajuster une vente longue ? anticiper les délais pour sécuriser son achat-revente

    17 novembre 2025

    Comment trouver l’assurance emprunteur la moins chère pour votre crédit immobilier

    28 octobre 2025
  • Louer

    Vivre à Paris : quand il faut sacrifier du mobilier faute d’espace optimiser chaque mètre carré pour mieux habiter

    15 octobre 2025

    Gestion locative frais : ce que les propriétaires doivent vraiment anticiper

    25 août 2025

    conciergerie airbnb : comment augmenter le rendement locatif de votre bien

    4 juillet 2025

    Investissement locatif en zone rurale : opportunités et pièges à éviter

    25 juin 2025

    location : qui doit payer l’entretien des canalisations ?

    19 septembre 2024
  • Construire

    Construire une maison écologique : matériaux, normes et aides financières disponibles en 2024

    17 novembre 2025

    Avantages de l’inox pour vos projets de décoration intérieure

    5 septembre 2025

    Les meilleurs plantes d’interieur pour purifier l’air : bien-être et qualité de l’air à la maison

    26 août 2025

    Comment choisir les bons matériaux pour sa rénovation dans le Haut-Rhin

    16 juillet 2025

    Terrain à bâtir : définition et caractéristiques pour mieux comprendre votre investissement

    3 janvier 2025
  • Fiscalité Immobilière

    Groupe WS , l’innovation dans l’immobilier parisien

    28 novembre 2025

    Fiscalité immobilière et rénovation : quelles déductions possibles pour les propriétaires bailleurs ?

    15 octobre 2025

    Abattement residence principale succession : ce que dit la loi et les conséquences pour les héritiers

    12 septembre 2025

    Loi Denormandie : un dispositif fiscal méconnu pour revitaliser les centres-villes

    30 octobre 2024

    comment réduire vos frais de notaire

    18 juin 2024
Terra ImmobilierTerra Immobilier
You are at:Home » Peut-on négocier les frais de notaire ? ce qu’il faut savoir avant d’acheter un bien immobilier
Peut-on négocier les frais de notaire ? ce qu’il faut savoir avant d’acheter un bien immobilier
Peut-on négocier les frais de notaire ? ce qu’il faut savoir avant d’acheter un bien immobilier
Acheter

Peut-on négocier les frais de notaire ? ce qu’il faut savoir avant d’acheter un bien immobilier

27 novembre 2025
Partager
Facebook WhatsApp Email

Acheter un bien immobilier en France, c’est aussi affronter une réalité un peu moins glamour : les fameux « frais de notaire ». Entre 7 et 8 % dans l’ancien, environ 2 à 3 % dans le neuf… la note grimpe vite. D’où la question qui revient à chaque signature de compromis : est-ce que ça se négocie vraiment ?

La réponse courte : oui… mais pas comme on l’imagine, et pas sur tout. La réponse détaillée, on va la voir ensemble, pas à pas, pour que vous sachiez ce que vous pouvez réellement négocier avant d’acheter, ce qui est intouchable, et les leviers intelligents pour réduire la facture globale.

Que recouvrent vraiment les « frais de notaire » ?

Premier réflexe : démonter le mythe. Les « frais de notaire » ne vont pas intégralement dans la poche du notaire, loin de là. Dans la majorité des cas, la plus grande partie est reversée à l’État et aux collectivités.

Concrètement, les frais se décomposent en trois grandes catégories :

  • Les droits de mutation et taxes : ce sont les impôts payés à l’État et au département (souvent 5 à 6 % du prix du bien dans l’ancien). Ils sont totalement non négociables.
  • Les débours : ce sont les sommes avancées par le notaire pour votre compte (cadastre, géomètre, documents d’urbanisme, formalités, etc.). Là encore, pas de marge de manœuvre : il s’agit de remboursements de frais.
  • Les émoluments du notaire : il s’agit de la rémunération réglementée de l’office notarial, calculée selon un barème national. C’est la seule partie, ou presque, sur laquelle une négociation est envisageable.

Si vous retenez une chose : sur 10 000 € de « frais de notaire », seule une petite portion correspond réellement aux honoraires du notaire, et donc à un potentiel rabais.

Ce qui est négociable… et ce qui ne l’est pas

Depuis la réforme tarifaire des notaires (loi Macron), un notaire peut appliquer une remise sur une partie de ses émoluments. Mais attention, ce n’est ni automatique, ni obligatoire.

Voici les règles à connaître :

  • La remise ne peut porter que sur les émoluments proportionnels de l’acte de vente, pas sur les taxes ou les débours.
  • Elle ne peut s’appliquer que sur la tranche de prix supérieure à 150 000 €.
  • La réduction est plafonnée : maximum 20 % de remise sur cette partie.
  • Le notaire doit appliquer sa politique de remise de façon uniforme à tous ses clients dans une même catégorie d’actes (par exemple, toutes les ventes immobilières). Il ne peut pas faire un geste « au cas par cas », au gré de sa sympathie.

En pratique, ça donne quoi ? Prenons un exemple simple.

Vous achetez un appartement à 300 000 € dans l’ancien :

  • Les frais totaux tourneront autour de 22 000 à 24 000 € (ordre de grandeur).
  • Sur cette somme, disons que les émoluments représentent environ 3 000 €.
  • La remise de 20 % ne peut s’appliquer que sur la tranche du prix au-dessus de 150 000 € (donc 150 000 €), et uniquement sur la part des honoraires correspondant à cette tranche.

Au final, la réduction possible se situe souvent entre quelques centaines d’euros et, dans les gros budgets, un peu plus d’un millier d’euros. Ce n’est pas négligeable, mais on est loin de diviser les frais par deux.

Dans quels cas la négociation des frais de notaire est-elle la plus réaliste ?

Tous les dossiers ne se prêtent pas de la même façon à la négociation. Certains profils ou situations incitent davantage un notaire à accorder une remise (lorsqu’il le peut).

Vous augmentez vos chances si :

  • Vous achetez un bien à prix élevé : plus le montant de la transaction dépasse 150 000 €, plus la base sur laquelle s’appliquerait la remise est importante.
  • Vous confiez plusieurs dossiers au même notaire : achat + donation, achat + création de SCI, achat + succession en cours… Un client « long terme » peut être plus facilement choyé, dans le respect du cadre légal.
  • Vous passez par un office notarial à fort volume d’activité : certains offices, très actifs en transactions, ont déjà une politique de remise standard sur les ventes au-dessus d’un certain montant.
  • Vous arrivez tôt dans la relation : évoquer la question au moment du choix du notaire ou lors de la préparation du compromis est toujours plus simple qu’à 48 h de la signature de l’acte définitif.

À l’inverse, si vous achetez un petit bien à 90 000 €, l’effet d’une éventuelle remise sera mathématiquement très limité, voire inexistant (puisque la remise ne s’applique qu’au-delà de 150 000 €).

Comment aborder le sujet avec le notaire sans se fermer des portes ?

Poser la question n’est jamais interdit, mais la manière de le faire compte énormément. Le notaire n’est pas un commerçant en train de négocier le prix d’un canapé, et sa marge de manœuvre est très encadrée.

Quelques pistes pour aborder le sujet avec tact :

  • Posez la question de façon factuelle : « J’ai lu que les notaires pouvaient parfois appliquer une remise sur leurs émoluments au-delà de 150 000 €. Est-ce que votre office pratique ce type de remise sur les transactions de ce montant ? »
  • Montrez que vous connaissez le cadre légal : cela crédibilise votre démarche et évite les demandes irréalistes du type « Vous pouvez me faire 30 % sur la totalité des frais ? ».
  • Évoquez la perspective de futurs dossiers si c’est le cas : projet de SCI familiale, donation à venir, achat locatif ultérieur… Sans en faire trop, bien sûr.
  • Restez courtois : un refus n’est pas un affront. Certains offices ont fait le choix de ne pas pratiquer de remise pour des raisons d’équilibre économique ou d’organisation.

Et si la réponse est non ? Ce n’est pas forcément une mauvaise nouvelle. Un notaire solide, organisé, disponible pour expliquer vos actes et sécuriser la transaction vaut parfois bien plus que 300 € d’économie.

Frais de notaire dans l’ancien vs dans le neuf : les vrais écarts

Avant même de parler de négocier, il est utile de comprendre pourquoi les frais sont si différents entre un bien ancien et un bien neuf.

Dans l’immobilier ancien, les frais de notaire sont en général entre 7 et 8 % du prix de vente. La différence vient principalement :

  • du niveau des droits de mutation (taxes) beaucoup plus élevés,
  • d’un prix de référence qui est souvent le prix « acte en mains » indiqué dans le compromis.

Dans le neuf (VEFA, logement achevé depuis moins de 5 ans et vendu par un professionnel assujetti à la TVA), les frais descendent souvent autour de 2 à 3 %. La clé de cette différence, ce sont des droits de mutation nettement réduits.

Ce point est important, car :

  • La meilleure façon de « négocier » les frais de notaire, parfois, c’est le choix du type de bien (ancien vs neuf).
  • Sur un même budget global, 250 000 € par exemple, l’écart de frais entre un bien neuf et un bien ancien peut atteindre plus de 10 000 €. C’est bien plus que ce que vous obtiendrez via une remise sur émoluments.

Évidemment, le neuf et l’ancien n’offrent pas les mêmes emplacements, les mêmes rendements locatifs, ni la même qualité architecturale… mais pour un primo-accédant à l’euro près, ce critère mérite d’être regardé de près.

Les vraies astuces légales pour réduire vos frais de notaire

Plutôt que de tout miser sur une remise hypothétique, il existe des leviers parfaitement légaux pour alléger la facture. Ceux-là sont souvent plus puissants que la négociation des émoluments.

Parmi les plus efficaces :

  • Distinguer le prix du mobilier dans l’acte : si le bien est vendu avec une cuisine équipée, des placards, voire certains meubles, il est possible de distinguer dans le compromis la part correspondant au mobilier (non soumise aux droits de mutation) du prix de l’immobilier nu. La conséquence : les frais sont calculés sur un montant inférieur.
    • Exemple : appartement vendu 250 000 €, dont 5 000 € de mobilier. Les frais seront calculés sur 245 000 €.
    • Attention : le montant du mobilier doit rester cohérent avec sa valeur réelle ; le notaire et, potentiellement, l’administration fiscale peuvent refuser une valorisation fantaisiste.
  • Faire porter les frais d’agence à la charge de l’acquéreur : si les honoraires de l’agence immobilière sont explicitement à la charge de l’acheteur et mentionnés distinctement dans l’acte, la base de calcul des droits de mutation peut être réduite. Dans certains cas, les frais de notaire seront calculés sur le prix « hors frais d’agence ». Là aussi, on parle souvent de plusieurs centaines ou milliers d’euros d’économie potentielle.
  • Comparer les simulations de différents notaires : les barèmes sont nationaux, mais la façon de chiffrer certains débours ou provisions peut varier légèrement d’un office à l’autre. Demander une simulation détaillée vous permet aussi de vérifier que tout est cohérent.
  • Éviter les actes redondants ou mal préparés : plus vous anticipez certains points (servitudes, mitoyenneté, situation locative, diagnostics à jour), moins il y a de risques de devoir passer des actes rectificatifs ou complémentaires… qui, eux, génèrent de nouveaux frais.

Ces leviers doivent toujours être maniés avec un notaire qui vous accompagne, pour rester dans le cadre légal et éviter toute remise en cause fiscale ultérieure.

Peut-on mettre les notaires en concurrence sur les frais ?

Contrairement à une idée persistante, choisir un notaire « moins cher » n’apportera pas de révolution sur le montant total des frais. La plupart des composantes sont rigoureusement les mêmes, d’un office à l’autre.

Là où la mise en concurrence a un sens, c’est plutôt sur :

  • La qualité du conseil : pédagogie, disponibilité, explications claires des clauses, relecture du compromis, anticipation des problèmes (droit de préemption urbain, servitudes, division, situation locative…).
  • Le délai de traitement : certains offices sont débordés et peuvent rallonger les délais entre compromis et acte authentique.
  • La transparence du chiffrage : un bon notaire vous remet une simulation détaillée des frais, décomposée par nature (émoluments, débours, taxes).
  • La politique de remise, si elle existe : certains offices notifient clairement leurs remises éventuelles sur leur site ou en rendez-vous.

Un autre point souvent méconnu : acheteur et vendeur peuvent chacun choisir leur notaire. Les deux notaires travailleront alors ensemble, et leurs émoluments seront partagés, sans surcoût pour vous. Cela peut être utile si vous tenez à votre notaire habituel alors que le vendeur souhaite garder le sien.

Et pour un investissement locatif, faut-il négocier différemment ?

Pour un investissement locatif, la question des frais de notaire doit se lire dans une perspective un peu plus large : celle de votre rendement global et de votre fiscalité.

Quelques points à intégrer :

  • Les frais de notaire s’ajoutent au prix d’acquisition pour calculer votre plus-value le jour de la revente. Plus précisément, vous pouvez les intégrer au prix d’achat retenu par le fisc. Ils ne sont donc pas « perdus à jamais » dans cette perspective.
  • Si vous êtes en régime réel (location nue ou meublée), une partie des frais de notaire peut être amortie ou prise en compte dans votre stratégie fiscale, selon la structure choisie (direct, SCI, LMNP, LMP…).
  • Dans certains montages (SCI à l’IS, par exemple), la comptabilisation des frais d’acquisition dans le coût du bien amortissable peut avoir un effet significatif sur votre résultat imposable.

Dans ce contexte, économiser 500 ou 1 000 € de frais de notaire est intéressant, mais moins déterminant que :

  • acheter au bon prix,
  • choisir le bon mode de détention,
  • anticiper la fiscalité à la revente.

Raison de plus pour voir le notaire non seulement comme un « coût », mais comme un partenaire juridique et fiscal dans votre projet d’investissement.

Les erreurs fréquentes à éviter autour des frais de notaire

En pratique, sur le terrain, je vois souvent revenir les mêmes approximations. Certaines peuvent vous coûter cher, d’autres simplement vous faire perdre du temps.

  • Penser que « tout est négociable » : non, l’essentiel des frais est constitué de taxes et droits, totalement verrouillés. Insister lourdement sur ce point avec un notaire risque juste de tendre la relation.
  • Confondre frais de notaire et émoluments : parler de « frais de notaire » en bloc entretient la confusion. Pour discuter sérieusement, mieux vaut distinguer clairement la part fiscalité / débours / émoluments.
  • Sous-estimer les frais dans son plan de financement : bâtir son budget en prenant 5 % de frais sur un bien ancien, par exemple, est un classique… et crée souvent un trou de plusieurs milliers d’euros à combler au dernier moment.
  • Tenter des montages « créatifs » pour gonfler le mobilier : faire passer 30 000 € de prix en mobilier dans un T2 vide, ça ne trompe ni le notaire, ni l’administration fiscale. Ce n’est pas une économie, c’est un risque.
  • Ne pas demander de simulation détaillée : accepter un montant global sans décomposition empêche de comprendre où va votre argent et de poser les bonnes questions.

La meilleure protection, c’est d’anticiper : en parler dès la promesse ou le compromis, et non au moment de la signature définitive.

En résumé : que pouvez-vous vraiment espérer sur vos frais de notaire ?

Si l’on remet tout à plat, voici ce que vous pouvez raisonnablement attendre avant d’acheter un bien immobilier :

  • Oui, une négociation limitée est possible, mais uniquement sur la part des émoluments, au-delà de 150 000 €, et dans la limite de 20 %.
  • Non, vous ne pouvez pas négocier les droits de mutation et taxes, qui représentent pourtant la plus grosse part des frais.
  • Les vrais leviers d’économie résident souvent dans :
    • la bonne qualification du bien (neuf / ancien),
    • la distinction claire du mobilier,
    • la répartition des frais d’agence,
    • la qualité de la préparation du dossier.
  • Le choix du notaire doit surtout se faire sur le sérieux, la disponibilité et la qualité de conseil, plus que sur une remise hypothétique de quelques centaines d’euros.

Si vous êtes à l’étape du compromis ou que vous venez de repérer un bien, le plus utile est souvent de :

  • solliciter rapidement un notaire,
  • demander une simulation détaillée des frais,
  • poser clairement la question de sa politique de remise,
  • et vérifier avec lui les marges de manœuvre sur le mobilier ou la prise en charge des frais d’agence.

C’est en maîtrisant ces éléments que vous pourrez acheter en toute lucidité, sans mauvaise surprise au moment où l’on vous tendra le stylo chez le notaire. Et, accessoirement, vous pourrez répondre avec précision à la fameuse question : « Tu as payé combien de frais de notaire, toi ? ».

Previous ArticleComment un comparateur d’assurance habitation peut vous faire économiser
Next Article Groupe WS , l’innovation dans l’immobilier parisien
Stephane
  • Website

La belle affaire

Déménager l’esprit tranquille : la check list pour un changement de domicile sans stress ni imprévu

28 novembre 2025 Acheter

Comment un comparateur d’assurance habitation peut vous faire économiser

21 novembre 2025 Acheter

Crédit relais : comment ajuster une vente longue ? anticiper les délais pour sécuriser son achat-revente

17 novembre 2025 Acheter

Comments are closed.

Derniers articles

location : qui doit payer l’entretien des canalisations ?

19 septembre 2024

les matériaux écologiques pour une construction responsable

14 février 2024

Installer une porte de garage sectionnelle : étapes et conseils

7 novembre 2024

Comment faire enlever une voiture sur un parking privé : les démarches légales à suivre

22 septembre 2025

Quelle démarche pour démolir une maison et respecter les obligations légales

8 novembre 2024

Terrain à bâtir : définition et caractéristiques pour mieux comprendre votre investissement

3 janvier 2025
A ne pas manquer
Acheter 28 novembre 2025

Déménager l’esprit tranquille : la check list pour un changement de domicile sans stress ni imprévu

Changer de domicile sans perdre pied : et si tout commençait bien avant le carton…

Groupe WS , l’innovation dans l’immobilier parisien

Peut-on négocier les frais de notaire ? ce qu’il faut savoir avant d’acheter un bien immobilier

Comment un comparateur d’assurance habitation peut vous faire économiser

Terra Immobilier
© 2025 Tous Droits Réservés à Terra Immo.

Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.

Gérer le consentement
Pour offrir les meilleures expériences, nous utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations des appareils. Le fait de consentir à ces technologies nous permettra de traiter des données telles que le comportement de navigation ou les ID uniques sur ce site. Le fait de ne pas consentir ou de retirer son consentement peut avoir un effet négatif sur certaines caractéristiques et fonctions.
Fonctionnel Toujours activé
L’accès ou le stockage technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
L’accès ou le stockage technique est nécessaire pour créer des profils d’internautes afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
  • Gérer les options
  • Gérer les services
  • Gérer {vendor_count} fournisseurs
  • En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
  • {title}
  • {title}
  • {title}
Go to mobile version