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Sous-estimation bien immobilier succession : conséquences fiscales, risques de redressement et moyens de s’en prémunir
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Fiscalité Immobilière

Sous-estimation bien immobilier succession : conséquences fiscales, risques de redressement et moyens de s’en prémunir

15 octobre 2025
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Sous-estimation d’un bien immobilier en succession : une fausse bonne idée

Dans un contexte de droits de succession souvent jugés lourds, la tentation est grande de « minimiser » la valeur du bien immobilier transmis. Après tout, une petite décote supplémentaire sur la maison de famille, qui y verra quelque chose ?

L’administration fiscale, justement.

Sous-estimer un bien dans une déclaration de succession peut sembler anodin, voire « dans la norme » quand on entend ce qui se pratique autour de soi. En réalité, les risques sont très concrets : redressement fiscal, intérêts de retard, pénalités, voire accusation d’abus de droit dans les cas les plus graves.

Voyons ensemble ce qui est réellement permis, comment le fisc contrôle, et surtout comment se protéger efficacement… sans se mettre en danger.

Comment doit être valorisé un bien immobilier dans une succession ?

En matière de succession, la règle de base est simple sur le papier : les biens immobiliers doivent être déclarés pour leur valeur vénale au jour du décès.

La valeur vénale, c’est :

  • Le prix auquel le bien pourrait être vendu dans des conditions normales de marché,
  • Entre un vendeur et un acheteur de bonne foi,
  • Dans un délai raisonnable.

Autrement dit, on ne parle pas de la valeur sentimentale, ni de ce que le voisin « pense que ça vaut », mais bien d’un prix de marché objectivable.

Cette valeur sert de base au calcul :

  • Des droits de succession,
  • Éventuellement de l’IFI (Impôt sur la Fortune Immobilière),
  • Et plus tard, de la plus-value éventuelle en cas de revente.

C’est pour cela que l’administration est particulièrement vigilante sur ce point.

Pourquoi certains héritiers sous-estiment-ils (volontairement ou non) ?

Dans la pratique, la sous-évaluation n’est pas toujours le fruit d’une manœuvre frauduleuse. Elle peut résulter de :

  • Une méconnaissance du marché local : on se fie à des prix datant de plusieurs années.
  • Une confusion entre « prix espéré » et « valeur réelle » : on se dit qu’il faudra sans doute négocier, donc on déclare plus bas.
  • Une mauvaise prise en compte de l’état du bien : maison très vétuste, copropriété mal entretenue, travaux lourds à prévoir.
  • La volonté assumée de réduire les droits : « Tout le monde le fait, pourquoi pas nous ? »

Attention : la loi ne vous interdit pas d’appliquer certaines décotes justifiées (occupation, indivision, servitude, etc.). Ce qu’elle sanctionne, en revanche, c’est la sous-évaluation manifeste et injustifiée.

Ce que regarde vraiment l’administration fiscale

Contrairement à une idée répandue, le fisc n’a pas besoin de visiter votre bien pour suspecter une sous-estimation. Il dispose de nombreux outils :

  • Les bases de données des notaires (DVF, PATRIM) : ventes comparables dans le même secteur, même type de bien, même période.
  • Les transactions ultérieures : revente rapide du bien après la succession à un prix nettement supérieur.
  • Les déclarations antérieures : valeur du même bien lors d’une donation précédente, d’un IFI, ou d’une autre succession.
  • Les loyers perçus : pour un bien loué, les loyers sont un excellent indicateur de valeur.

Vous n’êtes donc pas seul face à une feuille blanche : le fisc a ses propres repères, souvent très précis.

Les conséquences fiscales d’une sous-estimation : ce que vous risquez réellement

Lorsqu’une sous-évaluation est détectée, l’administration peut procéder à un rehaussement de la valeur du bien. Cela entraîne plusieurs conséquences en cascade.

1. Complément de droits de succession

Les droits initiaux ont été calculés sur une base trop basse. Vous devrez alors régler la différence, parfois plusieurs années après le décès. Sur un bien à forte valeur, l’impact peut être très lourd.

2. Intérêts de retard

Aux droits complémentaires s’ajoutent des intérêts de retard (au taux légal prévu par le Code général des impôts), calculés en principe à partir de la date où les droits auraient dû être payés. Plus le temps passe, plus la facture grimpe.

3. Majoration en cas de manœuvres frauduleuses

Si l’administration considère qu’il ne s’agit pas d’une simple erreur, mais d’une sous-évaluation délibérée, elle peut appliquer des pénalités supplémentaires :

  • Majoration de 40 % en cas de manquement délibéré,
  • Majoration de 80 % en cas de manœuvres frauduleuses ou d’abus de droit.

On passe alors d’un « ajustement » à une véritable sanction.

4. Impact sur l’IFI et la future plus-value

Une valorisation artificiellement basse aujourd’hui n’est pas neutre demain :

  • Pour les patrimoines assujettis à l’IFI, l’administration peut réexaminer la cohérence globale des valeurs déclarées.
  • En cas de revente, une base d’acquisition sous-évaluée peut mécaniquement gonfler la plus-value taxable (même si, en pratique, le fisc regarde surtout la cohérence entre succession et prix de vente).

Comment l’administration détecte une sous-évaluation ?

La détection n’est pas toujours immédiate. Les contrôles peuvent intervenir plusieurs années après la succession. Les signaux d’alerte les plus fréquents sont :

  • Une revente rapide : vous déclarez un appartement à 300 000 € dans la succession et il est revendu 12 mois plus tard 420 000 €. Le fisc compare.
  • Une valeur très en dessous du marché local : si la majorité des transactions se situent entre 3 500 et 4 000 €/m² et que vous déclarez 2 000 €/m² sans justificatif solide, cela interpelle.
  • Une discordance avec une donation antérieure : le bien a été donné 5 ans plus tôt sur la base de 350 000 € et vous le déclarez 280 000 € au décès… dans un marché stable ou haussier.
  • Des incohérences avec les loyers : un bien loué 1 500 €/mois déclaré pour une valeur de 150 000 € a peu de chances de passer inaperçu.

Dans ces situations, l’administration peut engager une procédure de rectification et proposer une nouvelle valorisation du bien. Charge à vous, ensuite, de prouver que la valeur initialement déclarée était justifiée.

Exemples concrets : quand la sous-estimation se retourne contre les héritiers

Deux cas typiques rencontrés sur le terrain illustrent bien les risques :

Cas n°1 : la maison de famille « à retaper »

Quatre frères et sœurs héritent d’une maison ancienne en périphérie de ville. Le notaire propose une valeur de marché estimée à 400 000 €, en prenant en compte le terrain et le potentiel. Les héritiers, eux, jugent la maison « invendable en l’état » et demandent à la déclarer 280 000 €.

La succession est déclarée sur cette base. Deux ans plus tard, après quelques travaux de rafraîchissement, la maison est vendue… 470 000 €. L’administration, via les données notariées, s’en aperçoit et remet en cause la valeur de 280 000 € retenue à l’origine.

Résultat :

  • Rehaussement de la valeur déclarée,
  • Complément de droits de succession pour chacun,
  • Intérêts de retard,
  • Et des tensions familiales, car certains savaient parfaitement que la première valeur était « optimiste ».

Cas n°2 : l’appartement loué en centre-ville

Un héritier unique déclare un appartement loué 900 €/mois, situé en centre-ville dynamique, pour 150 000 €. Le marché local est pourtant plutôt autour de 220 000 – 240 000 € pour ce type de bien.

Le fisc compare les loyers, les ventes similaires, et conclut à une sous-évaluation manifeste. Une proposition de rectification est adressée, avec droits supplémentaires et intérêts. Face aux éléments objectifs (transactions comparables, rapport de la DGFIP), l’héritier a beaucoup de mal à contester.

Sous-estimation ou décotes légitimes : la frontière à ne pas franchir

Il ne s’agit pas de surévaluer votre bien par prudence excessive. La loi admet pleinement certaines décotes légitimes lorsqu’elles sont justifiées et documentées :

  • Occupation du bien : un bien occupé (locataire, usufruitier, droit d’usage) vaut moins cher qu’un bien libre.
  • Indivision : une quote-part indivise est moins facilement cessible qu’un bien entier, ce qui peut justifier une décote.
  • Servitudes et contraintes : servitude de passage, nuisances, mitoyenneté lourde, classement en zone à risques…
  • État réel du bien : gros travaux avérés à réaliser (toiture, structure, mise aux normes lourde), diagnostics défavorables.

La clé est toujours la même : pouvoir démontrer, pièces à l’appui, que la valeur retenue correspond bien à ce qu’un acheteur raisonnable accepterait de payer, compte tenu de ces contraintes.

Les bons réflexes pour se prémunir d’un redressement

Pour limiter les risques, plusieurs précautions s’imposent au moment de la déclaration de succession.

1. Faire réaliser au moins une estimation professionnelle

Ne vous contentez pas d’un « avis au doigt mouillé ». Idéalement, réunissez :

  • Une estimation écrite d’un ou plusieurs agents immobiliers du secteur,
  • Une analyse du notaire, fondée sur les transactions locales,
  • Éventuellement, une expertise immobilière par un expert agréé pour les dossiers complexes ou à forts enjeux.

Ces documents ne garantissent pas l’absence de contrôle, mais constituent une preuve de votre bonne foi et un socle solide en cas de discussion avec le fisc.

2. Documenter l’état du bien et ses contraintes

Si vous appliquez une décote significative, conservez :

  • Les diagnostics techniques (amiante, plomb, DPE, électricité, gaz),
  • Des devis de travaux détaillés,
  • Les baux, attestations d’occupation, ou tout document prouvant que le bien n’est pas libre,
  • Les plans, rapports ou arrêtés concernant d’éventuelles servitudes ou contraintes d’urbanisme.

Plus vous êtes précis, plus vous serez crédible.

3. Éviter les valeurs « hors-sol » par rapport au marché

Une légère marge de prudence à la baisse peut se défendre, notamment en cas d’incertitudes sur l’état du marché. En revanche, une déclaration située 20 à 30 % en dessous de toutes les ventes comparables, sans justification solide, devient très difficile à défendre.

4. Anticiper une éventuelle revente rapide

Si vous savez déjà que le bien sera vendu à court terme, soyez particulièrement cohérent :

  • Une déclaration à 300 000 € suivie d’une mise en vente immédiate à 380 000 € attirera forcément l’attention.
  • Si le bien est mis en vente à un prix plus élevé, justifiez l’écart par des travaux réalisés après la succession, un changement de marché, ou une stratégie de mise en vente (prix d’appel, forte négociation attendue).

Que faire en cas de contrôle ou de proposition de rectification ?

Recevoir un courrier de l’administration remettant en cause la valeur d’un bien n’est jamais agréable, mais ce n’est pas forcément la catastrophe.

Quelques réflexes utiles :

  • Ne pas ignorer le courrier : les délais de réponse sont encadrés. Passé un certain délai, le redressement peut devenir définitif.
  • Analyser précisément les comparaisons du fisc : les biens vraiment comparables sont-ils si proches en termes d’emplacement, d’état, de surface, de nuisances ?
  • Réunir vos propres éléments : estimations initiales, rapport d’expert, diagnostics, devis de travaux, photos attestant de l’état du bien au jour du décès.
  • Vous faire assister : un notaire rompu à ces discussions, voire un avocat fiscaliste, peut faire une vraie différence, surtout sur les dossiers à fort enjeu.

Dans bien des cas, une discussion argumentée permet de trouver un terrain d’entente : la valeur est parfois revue à la hausse, mais de manière plus raisonnable que dans la première proposition de l’administration.

Sécuriser au maximum sa valorisation : une stratégie de long terme

Pour les patrimoines importants, la question de la valorisation ne se joue pas uniquement au moment du décès. Elle s’inscrit dans une réflexion plus globale :

  • Actualiser régulièrement les valeurs dans le cadre d’une organisation patrimoniale (donations, IFI, bilan patrimonial).
  • Éviter les grands écarts entre les différentes déclarations (donation, IFI, succession), sauf évolution manifeste du marché ou du bien.
  • Recourir à l’expertise indépendante sur les biens atypiques, les grandes propriétés, ou les immeubles de rapport.
  • Travailler en amont sur la transmission (donations-partages, démembrements, SCI) pour lisser la fiscalité et éviter les montants de droits trop élevés d’un seul coup.

Plus la stratégie est anticipée, moins vous serez tenté de « bricoler » une valeur le jour où il faut déposer la déclaration de succession en urgence.

En résumé : mieux vaut une valorisation solide qu’une économie de droits risquée

Sous-estimer un bien immobilier dans une succession peut donner l’illusion d’une économie rapide. En réalité, les risques de redressement sont bien réels, et les conséquences financières – intérêts, pénalités, conflits familiaux – peuvent largement dépasser le gain initial.

À l’inverse, une valeur :

  • Sérieusement justifiée,
  • Argumentée par des professionnels,
  • En phase avec le marché et l’état réel du bien,

constitue une véritable protection pour les héritiers. C’est aussi un moyen de traverser cette étape déjà difficile émotionnellement, sans ajouter une épée de Damoclès fiscale au-dessus de la famille.

En cas de doute, n’hésitez pas à vous entourer : notaire, agent immobilier local, expert foncier, voire conseil fiscal. Une valorisation bien faite n’est pas seulement une formalité administrative : c’est un investissement dans la sécurité juridique et patrimoniale de votre succession.

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